Nombre de ses écrits, de ses travaux, resteront des références, mais nous ne la remercierons jamais assez de nous avoir donné « Ballade triste pour une ville perdue », ouvrage poétique et poignant, et d’avoir mis sa plume et son âme au service de la remarquable revue « Mémoire plurielle » qu’elle avait créée et qu’elle maintenait contre vents et marées.
Denis FADDA