La remise du prix France-Liban de l’Association des écrivains de langue française (ADELF) décerné aujourd’hui à mon ouvrage « Le Monothéisme le Pouvoir et la Guerre » au siège parisien de l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF) revêt pour moi une signification particulière. Non seulement en ma qualité de militant francophone. Mais surtout car, en ces temps marqués par la montée du fanatisme et du terrorisme islamiste auquel répond celle de l’islamophobie, il est bon de rappeler que si les religions peuvent être la matrice « d’identités meurtrières », le partage de la langue est toujours source de fraternité et de compréhension de l’autre. C’est le cas en particulier de la Francophonie dont les valeurs fondées sur le dialogue des cultures peuvent contribuer à combler le fossé entre le monde arabo-musulman et la chrétienté occidentale et orthodoxe. .
21 mars 2016